
Ingrédients portion 12
Poitrine de bœuf 1kg
Betterave rouge 1 pièce
Tomates 1kg
Pommes de terre 6 pièces
Oignons 3 têtes
Saindoux 70g
Sel 1 cuillère à soupe
Feuille de laurier 3 pièces
Chou 1kg
Piment doux 2 pièces
Persil 1 botte
Instructions de cuisson 40 minutes
1 Mettez la poitrine dans une casserole de cinq litres, versez de l’eau froide dessus et placez-la sur le feu. Lorsque l’eau bout vigoureusement, retirez-la, réduisez le feu et laissez mijoter sous un couvercle pendant une heure et demie. Pendant ce temps, le liquide aura bouilli juste assez pour contenir les légumes dans la marmite.
2 Après une heure et demie, sortez la viande et laissez-la refroidir – quand elle n’est plus brûlante, coupez-la en petits morceaux et remettez-la dans la casserole.
3 Pendant ce temps, râper une betterave moyenne dans le bouillon.
4 Épluchez et coupez les pommes de terre et mettez-les dans la marmite. Ebouillanter les tomates dans de l’eau bouillante, les peler et les hacher finement dans la soupe.
5 Coupez l’oignon et le lard en petits morceaux et hachez-les ensemble. Ajoutez 4-5 cuillères à soupe du mélange, du sel et de la feuille de laurier à la soupe et remuez-la dans le milieu bouillant.
6 Coupez deux poivrons – de préférence verts, en fines tranches. Ajouter à la soupe.
7 Hachez finement le persil, coupez le chou en longues lamelles fines. Lorsque les pommes de terre sont presque prêtes, jetez les légumes verts et le chou dans la soupe, et dès qu’elle bout à nouveau, retirez le bortsch du feu. La beauté de ce bortsch – et non la seule – est que le chou ne déborde pas, mais reste croustillant.
Conseil de recette L’ingrédient principal de ce bortsch de Kouban est le saindoux séché, que les autochtones appellent « vieux » ou « pourri ». Quelle que soit la manière dont ces épithètes peuvent sonner à une oreille non avertie, la saveur chaude, riche et animale du bortsch n’a rien à voir avec elles. Un tel bortsch serait bon non seulement avec du bouillon de bœuf, mais aussi avec du bouillon de poulet.