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Berlin : 38 attractions gastronomiques

Berlin : 38 attractions gastronomiques, Voyage

Bar du groom

Au Bellman (Reichenberger Straße 103, Kreuzberg), il n’y a pas de lumière électrique, les tables sont éclairées par des bougies à toute heure de la journée et les murs semblent avoir été brûlés. C’est un bar qui propose de la nourriture allemande et autrichienne, mais depuis qu’une grand-mère russe cuisine, les pelmeni et les boulettes avec des pommes de terre, du fromage blanc et des cerises sont au menu. Et ils sont, sans blague, bien plus savoureux que le célèbre Pushkin de Moscou.

Cevapcichi Stari Most

Le restaurant balkanique Stari Most (Reichenberger Straße 177, Kreuzberg) a un design nul, quatre tables à l’extérieur et deux à l’intérieur, mais la cuisine fait d’excellents cevapcici, des saucisses frites à base de viande hachée qui ressemblent à des kebabs.

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Mustafa’s Gemüse Kebap cafe

Il y a toujours une longue queue à la station de métro Mehringdamm – et pour cause : c’est l’un des meilleurs kebabs de la ville. La viande du döner kebab est aussi abondante que si elle poussait gratuitement sur les arbres, accompagnée de laitue, d’aubergines et de pommes de terre frites. Encore plus savoureux est le dener durum, où l’excellente farce frite est arrosée de jus de citron. Il y a aussi un kebab végétarien – très épicé.

Marché Marheineke Markthalle

La Marheineke Markthalle, située au milieu de la Marheinekeplatz/Bergmannstraße, à Kreuzberg, vend des produits provenant de toute l’Europe, la plupart étiquetés bio. Vous pouvez non seulement les acheter, mais aussi les manger et les boire en vous asseyant sur de hauts tabourets de bar aux comptoirs.

Marché Markthalle Neun

Tous les jeudis soirs, la Markthalle Neun à Kreuzberg (Eisenbahnstraße 42/43, Kreuzberg) se transforme en un festival de street food : on y trouve des hamburgers, du chou et du porc traditionnels allemands, et bien plus encore. Et des cocktails aussi – un bon entraînement avant vendredi.

Trattoria Il Casolare

Il Casolare (Grimmstraße 30, Kreuzberg) est à ne pas manquer : l’odeur de la pizza qui flotte sur le Landwerkanal est tentante. « Margaritas », les pizzas Cuatro formaggi et autres sont plus grandes que les assiettes, l’ambiance est simple et les serveurs sont charmants et insouciants à leur manière italienne.

Centre commercial KaDeWe

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KaDeWe (Tauentzienstraße 21-24, Charlottenburg) est un immense centre commercial dont le sixième étage n’est même pas un supermarché gastronomique, mais un véritable musée gastronomique de la taille d’un stade. Il y a de petits cafés en plein air juste dans le hall, où vous pouvez demander que tout soit préparé et immédiatement consommé.

Curry de saucisses 36

L’une des meilleures charcuteries de Kreuzberg – et de tout Berlin aussi (Mehringdamm 36, Kreuzberg). Les saucisses sont fabriquées sur commande par un boucher spécial, et à part les currywurst, il y a aussi des saucisses avec d’autres sauces, mais elles sont toutes accompagnées d’un ketchup spécial.

Trattoria Venezia

Cette trattoria (Liegnitzer Straße 28, Kreuzberg) est une championne de la taille des portions. Ils font la plus grande pizza de Berlin, si ce n’est du monde, en tout cas de Berlin – 60 cm de diamètre pour 18 €. Il faut au moins trois personnes pour le manger.

Restaurant Reinstoff

Le restaurant de l’ancienne usine de lampes Edison (Schlegelstraße 26C, Mitte) s’est vu décerner deux étoiles Michelin par le chef Daniel Achilles pour avoir fait preuve de voltige dans la manipulation des produits les plus courants.

Restaurant Hasır

Le principal restaurant turc de la ville, patrie du döner Kebab (Adalbertstraße 10, Kreuzberg). C’est à Berlin, et non sur les rives du Bosphore, que le premier agneau a été tiré d’une broche verticale et enveloppé dans une pita avec des légumes. Cela a suivi en 1971, lorsque l’immigrant turc Mehmet Aygün a ouvert Hasır. Chaque plat du menu, du dolma au riz au lait, mérite d’être exploré. L’entreprise d’Aygün a connu un tel succès qu’il existe désormais cinq autres restaurants Hasır à Berlin. Mais la meilleure est toujours la première.

Restaurant Knofel

Le nom de ce restaurant (Wichertstraße 33A, Prenzlauer Berg) se traduit par « ail » : l’ail est partout, tant à l’intérieur que dans la nourriture – littéralement dans chaque plat. Les plats comprennent des croûtons caramélisés à l’ail, du poulet à l’ail, de la glace à l’ail et de l’ail entier rôti, appelé sur le menu « rose puant ».

Restaurant Blauer Engel

L’ange bleu, l’actrice Marlene Dietrich, est née dans la maison voisine. Les propriétaires du restaurant (Gotenstraße 1, Schöneberg) tentent de recréer l’époque de la République de Weimar par tous les moyens. Cela réussit bien mieux que leurs expériences gastronomiques, qui ne sont cependant pas non plus sans intérêt.

Saucisse Kudamm de Bier 195

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Cet endroit (Kurfürstendamm 195, Charlottenburg) décrit plus précisément le Berlin moderne que la porte de Brandebourg, l’architecture moderne du Sony Center et la tour de télévision sur l’Alexanderplatz. C’est un endroit parfait pour une carte postale, et bien que de nombreux hot-dogs soient repérés sur l’interminable Kurfürstendamm, c’est le Bier’s qui détient la distinction. D’abord, on y trouve ce qui est universellement reconnu comme la meilleure currywurst, on y trouve de bonnes saucisses de porc et on y est ouvert 24 heures sur 24, sauf qu’ici les saucisses ne sont pas servies avec une bière ou un soda mais avec du Veuve Clicquot, un champagne rosé. Le soir, il y a une foule de voitures et de motos coûteuses – avant de se rendre dans une boîte de nuit ou en revenant d’une boîte de nuit le matin, une foule lasse se renforce ici. Cet endroit réunit l’Ouest et l’Est, le haut et le bas, et est devenu une véritable institution dont on parle aux touristes, mais ce n’est pas une institution touristique car c’est là que les choses se passent vraiment. Ici, les saucisses sont réellement mangées, réellement bues avec de la Veuve Clicquot rose ou de la bière. Et dans les boutiques Prada et Chanel voisines, les acheteurs de sacs à main et de robes reçoivent en cadeau un coupon pour une saucisse au Kudamm 195 de Bier. Et c’est un motif d’achat important.

Currywurst (saucisses)

Saucisse traditionnelle de Berlin dans une sauce épicée à la tomate et au curry. Une invention d’après-guerre de Gerta Heuver, la propriétaire d’un petit restaurant avec lequel les soldats britanniques partageaient autrefois leurs épices.

Facil Restaurant

Cuisine légère avec un accent méditerranéen sur la Potsdamer Platz. Le restaurant occupe la cour de l’hôtel The Mandala (The Mandala, Potsdamer Straße 3, Tiergarten) : pavillon de verre, pousses de bambou, fontaine, tranquillité. Le jeune chef Michael Kempf n’a pas perdu la main comme son prédécesseur : Facil a obtenu une étoile Michelin, tandis que ce dernier en a obtenu une deuxième. Pendant la journée, un menu de trois plats est proposé pour 45 €.

Restaurant Fischers Fritz

Le Regent, Charlottenstraße 49, Mitte, est un lieu de cérémonie pour les occasions les plus festives : la salle est décorée de lustres en cristal cyclopéens, de bois sculpté et de bougies sur les tables. Les spécialités gastronomiques du chef Christian Loze sont en harmonie avec l’intérieur : il sert des cuisses de grenouilles aux artichauts et du turbot au lard italien avec de l’huile de lavande. Deux étoiles au Michelin.

Restaurant Frühsammers

Une attraction gastronomique dans un endroit idyllique (Flinsberger Platz 8, Grunewald). La chef Sonja Fruesammer, acclamée par la critique, est passée maître dans l’art des miniatures sophistiquées : des soupes dans des verres à liqueur, une tranche d’agneau avec un trait de sauce. Des mets de saison comme les asperges, les morilles et les cous d’écrevisses sont servis dans des plateaux, agrémentés d’innombrables compliments du chef. Frühsammers est situé dans une villa sur le terrain du club de tennis de Grunewald, loin du centre, mais qui vaut vraiment le détour. Une étoile au Michelin.

Restaurant Lorenz Adlon Esszimmer

Deux étoiles Michelin au principal hôtel de Berlin (Adlon Kempinski, Unter den Linden 77, Mitte). Un endroit dont les critiques de restaurants parlent avec rien de moins qu’un souffle. L’ambiance est, bien sûr, pompeuse, la cuisine est sophistiquée et française, et il y a une solide vue sur la Porte de Brandebourg. Les premiers succès, la langue de mer bretonne et le canard pressé, sont au menu depuis 1907.

Restaurant Die Quadriga

Grande nourriture et la meilleure collection de vins allemands en ville.  » Le Quadriga  » (Brandenburger Hof, Eislebener Straße 14, Charlottenburg) est installé dans l’hôtel cinq étoiles Brandenburger Hof. Le chef est originaire de Finlande et les plats, comme le pigeon et le magret de canard, sont typiquement français et ont une saveur scandinave. Le vin, quant à lui, est exclusivement local ; les bouteilles proviennent de toute l’Allemagne et le sommelier est particulièrement fier des Rieslings millésimés 1976, 1959, 1937 et 1911.

Restaurant Rutz

Un lieu étoilé au Michelin (Chausseestraße 8, Mitte) par un jeune chef prometteur. La spécialité de Marco Müller, ce sont les combinaisons extravagantes comme le boudin avec le cassoulet aux chanterelles ou le bar avec la moelle osseuse. Le bar à vin mérite également une mention spéciale, avec un choix de six cents vins. Un sommelier expérimenté est là pour aider ceux qui sont perdus.

Restaurant VAU

Expériences de viande par l’un des chefs étoilés de Berlin. Les critiques gastronomiques allemands ne tarissent pas d’éloges sur les expériences gastronomiques de Koli Kleeberg (qui a également une étoile au Michelin – l’une d’entre elles). Les amateurs de bœuf (queue de bœuf à la moelle et au tartare, entrecôte au raifort et aux choux de Bruxelles) sont les premiers attirés ici (Jägerstraße 54-55, Mitte), tandis que les mangeurs de viande plus hardcore peuvent commander le sanglier au lait entier. Mais il y a aussi du poisson, et il n’est pas mauvais.

Restaurant Gugelhof

Sérieux restaurant alsacien au cœur de Prenzlauer Berg (Kollwitzplatz/Ecke Knaackstraße 37, Prenzlauer Berg). Il prouve que la choucroute et le boudin peuvent être des mets exquis. L’ancien chancelier Schroeder a emmené l’ancien président Clinton déjeuner au Gugelhof, une expérience qui hante encore aujourd’hui le quartier.

Restaurant Autriche

Le meilleur schnitzel viennois de Berlin. Cette taverne est située dans l’une des rues les plus fréquentées de Kreuzberg (Bergmannstraße 30, Kreuzberg), il est donc difficile d’obtenir une table sans appeler à l’avance. Les chefs comptent sur des mangeurs sérieux : le schnitzel a la taille d’une serviette et les Kaiserschmarrn – des crêpes épaisses et moelleuses avec de la compote de prunes – ne peuvent être battues à elles seules.

Restaurant Dos Palillos

Un bar-restaurant branché promis à un bel avenir (Weinmeisterstraße 1, Mitte). Son grand frère Dos Palillos est basé à Barcelone et a récemment reçu une étoile Michelin. Il ne fait aucun doute que le restaurant de Berlin connaîtra le même sort. Les chefs cuisinent tout ce qui correspond à la définition de la cuisine panasiatique : gedza japonais, rouleaux de printemps vietnamiens, tempura, soupe suimono – avec une incursion occasionnelle dans la cuisine espagnole et la farce, par exemple, de boulettes chinoises avec du porc ibérique.

Café Monsieur Vuong

Café vietnamien super-populaire à côté des boutiques branchées de Mitte (Alte Schönhauser Straße 46, Mitte). Les places assises sont toujours un problème chez « Monsieur Vuong » : la nourriture est abondante et les réservations sont toujours difficiles à obtenir. Le service, cependant, est efficace et l’attente est courte. Les nouilles et les soupes sont incroyablement bonnes.

Prater Biergarten

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Le restaurant à bière vieux de 160 ans (Kastanienallee 7-9, Prenzlauer Berg) situé sur la Kastanienallee, que les Berlinois appellent la Kastinhalle en raison du regroupement de yuppies huppés, a l’air traditionnel : de longues banquettes et tables en bois qui, en été, sont déplacées à l’extérieur à l’ombre des arbres et appelées paradis de Prenzlauer Berg. Le paradis est plein de monde : par moments, cinq ou six cents personnes se rassemblent, une tasse géante à la main et un regard rêveur dans les yeux. Outre la Berliner Weissen (bière blonde au sirop), la plus ancienne brasserie de la capitale sert des snacks typiquement berlinois : saucisses frites, soupe épaisse, salade de pommes de terre et concombres marinés.

Café Dada Falafel

Une combinaison sympathique de nourriture simple et d’art sophistiqué dans un restaurant turc (Linienstraße 132, Mitte). Les falafels sont monnaie courante à Berlin, mais d’une certaine manière, les chefs turcs réussissent moins bien que les döner ou les pizzas. Ici, c’est impeccable : modérément frit, avec du yaourt acidulé ou du houmous. À proximité se trouve la galerie des dadaïstes modernes de Berlin, qui reste éclairée même la nuit – vous pouvez donc combiner une collation avec une visite des expositions.

Lindenbräu Biergarten

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Il n’y a rien du sordide romantique et de l’ombre des arbres sculptés typique des biergartens au pied de l’immeuble de bureaux, mais pendant que vous buvez et mangez, vous pouvez avoir un bon aperçu de l’étrange dôme du Sony Center sous lequel se trouve le restaurant (Bellevuestraße 3-5, Tiergarten).

Café Ixthys

Restaurant religieux proposant une authentique cuisine coréenne (Pallasstraße 21, Schöneberg). Les murs du minuscule café de Winterfeldplatz sont couverts de citations de la Bible. Les deux veuves qui ont ouvert l’endroit semblent n’avoir que deux intérêts dans la vie : le christianisme et la cuisine. Tout en ne détournant pas l’attention du premier, ils rendent hommage au second : la nourriture ici est la plus honnête et la plus délicieuse des cuisines coréennes de Berlin.

Restaurant Cookies Cream

Le restaurant végétarien secret de l’expérimentateur (Behrenstraße 55, Mitte). Vous devez traverser des ruelles sombres et passer devant des poubelles pour arriver ici – il n’y a aucune indication. Mais cela ne fait que piquer la curiosité, et pour cause. Le jeune chef Stefan Hentschel transforme avec une facilité inouïe des produits banals comme la betterave ou le céleri en saveurs subtiles, et invente sans cesse de nouvelles choses.

Biergarten Café am Neuen See

Le meilleur biergarten de la ville (Lichtensteinallee 2, Tiergarten). Ce restaurant bavarois-italien populaire situé à la lisière du Tiergarten est ouvert toute l’année, avec des tables en plein air du début du printemps à la fin de l’automne. C’est idéal par une chaude soirée d’été, lorsque les arbres sont parés de lumières et qu’il y a des lanternes sur le lac.

Schleusen Krug Biergarten

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Biergarten sur les écluses juste à l’extérieur des murs du zoo de Berlin (Müller-Breslau-Straße, Charlottenburg). Tout le monde est assis aux tables en cascade. Si vous vous ennuyez à écouter de la musique et à boire de la bière, vous pouvez regarder les écluses en action.

Spätzle avec ragout de boeuf

Type de pâtes allemandes qui diffèrent des autres types en ce qu’elles sont cuites directement lors de la fabrication : la pâte est frottée à travers une passoire ou une râpe directement dans l’eau bouillante. Il est généralement utilisé comme un plat d’accompagnement, comme dans ce cas.

Weinstein Bar

Un bar à vin très populaire dans le quartier LSD (Lychener Straße 33, Prenzlauer Berg). Grâce aux guides et aux critiques gastronomiques allemands, Weinstein est déjà connu bien au-delà de Berlin – il y a une cohue le soir. La raison en est l’excellente sélection de vins. La cuisine locale est également digne d’intérêt, bien qu’elle le soit moins.

Double Eye Cafe

Un espace de trois mètres sur trois, deux tables à l’intérieur, quatre bancs à l’extérieur et une longue queue pour le café le plus savoureux de la ville (Akazienstraße 22, Schöneberg). Les baristas y remportent régulièrement des concours européens, faisant de leurs espressos, cortados et lattes un modèle de perfection en matière de proportion, de force et de température. Ne comptez pas sur la nourriture : seuls les croissants et les pâtisseries portugaises comme le pastel di-nata sont disponibles.

Imbis

Il existe de nombreuses options bon marché (et assez savoureuses) pour manger à Berlin. Cherchez une tente ou un magasin sur lequel est écrit « Imbiß ». Tout restaurant bon marché peut être appelé un Imbiß, quelle que soit sa nationalité. Les variétés les plus populaires sont allemandes avec toutes sortes de saucisses et de saucissons et turques avec de luxueuses brochettes (Döner, alias Döner Kebab, – pain pita chaud avec de la viande, des légumes et de la sauce). Un peu plus rares sont les points de vente de nourriture grecque, asiatique et arabe, qui valent également le coup d’œil. On trouve même des étals de nouilles chinoises, des stands de crêpes vietnamiennes et des comptoirs de sandwichs d’épicerie fine dans les couloirs souterrains.

Berliner

Abréviation de Berliner Pfannkuchen. L’intérieur est principalement composé de confit ou de confiture, mais il y a aussi parfois de la crème.

Pour d’autres endroits savoureux à Berlin et tout ce qu’il faut voir dans la ville, consultez le guide Afisha en vente ici.

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Robert Rosset

Robert est un professionnel chevronné avec une richesse d'expériences diverses et un succès avéré dans la création d'équipes et d'organisations productives, saines et axées sur les résultats. Il a connu une carrière passionnante et enrichissante pendant vingt-cinq ans tout en développant, concevant et produisant des centaines de projets parmi les plus envieux de l'industrie des événements spéciaux dans trois pays. Cela lui a permis de diriger et de contribuer de manière significative à la construction d'une croissance positive et durable de nombreuses entreprises et organisations prospères au sein d'une industrie dynamique et exigeante. Robert apporte un dossier très mesurable et extrêmement fiable en matière de développement commercial réussi et durable, de croissance des ventes et d'excellence opérationnelle efficace. Au cours des dernières années, il a surtout aimé travailler avec des groupes de personnes et des organisations qui ont ou ont besoin d'une vision, d'un objectif et d'une direction clairs. Il excelle à mettre les objectifs au point, à y ajouter de la tangibilité et du processus et à communiquer de manière collaborative, éloquente et passionnée à toutes les personnes impliquées pourquoi et comment cela compte. Pendant de nombreuses années, Robert a eu l'opportunité de diriger et de suivre, de concevoir et de déconstruire, de parler et d'écouter, d'être un mentor et un étudiant, un leader et un ami pour de nombreuses personnes et groupes formidables issus d'un large éventail d'industries et d'horizons. Chacune de ces expériences et disciplines est responsable de ce qu'il est aujourd'hui en tant que professionnel et personne. .
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